Correspondance de Louis Jou sur son ouvrage Abeille

Les Baux, du 28 mai 1923 au 22 juillet 1923

  • Dimensions: 21,6 x 27 cm et 21,6 x 27, 7 cm
  • Condition: A

Référence: 285-18

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Description

3 L.A.S. à M. et Mme Coq, Les baux, du 28 mai 1923 au 22 juillet 1923. 3 pp. in-4. En-tête avec ses initiales et sa devise.

Intéressante correspondance adressée à l’éditeur André Coq, son épouse, dans laquelle Jou évoque la création de l’ouvrage Abeille (1923).
Le 28 mai, Louis Jou appelle André Coq “[…] je n’ai pas de nouvelles d’Abeille ? […] Vous avez des feuilles ? Et la parole d’honneur ? Pouvez-vous me donner des détails ? ” ; le 2 juillet, il s’adresse cette fois à Mme Coq et lui fait part de son désarroi et de sa colère ” Vous ne parlez que de mes fautes, sans que les fautes de M. Coq soient en cause […] quand je vous ai dit que vous auriez les dessins, pour moi, c’était un fait certain que vous les auriez. Mais quand M. Coq a promis de m’envoyer une somme d’argent ici aux Baux, et que je n’ai rien reçu, était-il aussi certain ? Vous savez, Madame, que je ne suis pas riche, et que si je travaille c’est simplement parce que j’ai besoin de ce que je gagne par mon travail […]” il évoque alors un livre sur lequel il devait travailler et les retards accumulés (le livre et les dessins). Il insiste longuement sur le paiement de son travail ; enfin le 22 juillet 1923, il manque un dessin de l’œuvre Abeille, il indique sur un ton de reproche ” Ils ont beaucoup voyagé de chez moi, chez vous, chez vous, chez moi. Il en manque un … possible. Si j’avais eu l’exemplaire d’Abeille, cela ne serait peut-être pas arrivé, mais si tôt […]” il va donc faire ou refaire le dessin qu’il ne pense pas avoir dans ses épreuves, il évoque ensuite la couverture, le nombre de bois dont il aura besoin, ses frais, les dessins supplémentaires….”.

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